De nouvelles frappes de drones, cette fois dans la zone de Sebba, ont encore fait mouche. Plusieurs terroristes ont été envoyés dans le repos éternel.
L’opération s’est déroulée le 18 novembre 2024, renforçant les efforts de lutte contre l’insécurité dans la région. Ce sont des frappes de précision qui ont eu lieu, dénichant ces bandits armés de leurs cachettes.
Terroristes neutralisés dans une école à Sebba
Les forces armées burkinabè ont confirmé que les frappes de drones ont ciblé avec précision une école utilisée comme base par les terroristes, dans la zone de Sebba (région du Sahel).
Dans la soirée du 17 novembre 2024, les guetteurs aériens ont repéré une colonne de terroristes dans cette zone. Ces voyous y entreposaient des armes et planifiaient des attaques contre les villages environnants.
L’intervention a permis de réduire à néant leurs capacités opérationnelles dans cette zone stratégique. Un autre groupe de terroristes cachés dans un verger voisin, a subi le même sort que leurs amis , lors de cette opération.
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Opération chirurgicale sur le verger
Ce site servait de refuge et de lieu de repli après leurs exactions. Grâce à la surveillance aérienne, les drones ont identifié les cibles avec exactitude, minimisant les risques de dommages collatéraux.
Dans le même temps, les observateurs aériens ont identifié les criminels se prélassant dans l’école. L’armée a décidé de frapper simultanément les deux positions. Un missile a d’abord frappé l’école, détruisant les occupants et leurs engins. Au même moment, un autre vecteur a ciblé le verger pour anéantir les assaillants.
Plus tard dans la nuit, des rescapés, croyant que le danger était éloigné, sont revenus près de l’école pour constater les dégâts.
Cette opération marque un tournant dans la lutte contre les groupes armés terroristes dans la région. Elle renforce la stratégie des autorités visant à restaurer la sécurité dans les zones les plus touchées par l’insécurité. La population de Sebba a salué cette intervention décisive, synonyme d’espoir pour un retour à la paix.
AMINA KABO DJARMAH
