Le 11 décembre 2024, le Burkina Faso a célébré sa fête de l’indépendance. Depuis la mairie de Barsalogho, le Capitaine Ibrahim Traoré, président du Faso, a adressé un message poignant à la nation.
Le Capitaine Traoré a souligné que les épreuves actuelles définissent le Burkina Faso comme un « peuple courageux, vaillant et résilient ». Selon lui, la bataille pour l’indépendance réelle, marquée par les efforts de ce 11 décembre , a renforcé la cohésion nationale. Il a salué les efforts du peuple pour soutenir les forces combattantes par des contributions volontaires et fiscales, permettant ainsi une montée en puissance de l’armée nationale.
Construire une armée forte et souveraine
Le président a affirmé qu’aucun développement ni paix n’est possible sans une armée forte. Ce 11 décembre 2024, il a promis de continuer à équiper et former les forces armées afin de consolider les acquis et reconquérir l’intégralité du territoire. Il a rappelé que cette lutte est essentielle pour protéger les richesses du pays face aux visées impérialistes. Il a rendu hommage aux Burkinabè, qualifiant cette journée
« d’immense plaisir » pour saluer leur combat pour une indépendance réelle. En rappelant les sacrifices consentis, il a prié pour la santé des blessés et le repos des défunts, tout en exprimant sa gratitude envers le peuple.
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Une lutte acharnée contre l’ennemi
Dans son discours de ce 11 décembre 2024, Ibrahim Traoré a été ferme : les ennemis seront traqués jusqu’à leur dernier retranchement. Il a invité les combattants à poursuivre les opérations, tout en offrant aux adversaires la possibilité de se rendre. En l’absence de reddition, il a affirmé que le Burkina Faso ne céderait jamais.
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11 décembre 2024, un appel à la méditation et à l’engagement
Le président a exhorté les Burkinabè, qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur, à poursuivre leur soutien pour que l’armée atteigne ses objectifs. Lors de son discours de ce 11 décembre 2024, il a appelé à une méditation collective sur la signification de l’indépendance et souhaité que 2025 soit l’année de la victoire finale.
« La Patrie ou la mort, nous vaincrons », a-t-il conclu.
Carol SAWDOGO
