Dans le cadre du ramadan 2025, le haut-commissaire de la province de la Kossi a présidé le vendredi 14 mars 2025, une rupture collective de jeûne organisée par la coordination provinciale des associations de la veille citoyenne. Un moment de partage et de fraternité qui a rassemblé autorités et acteurs de la société civile.
Cette initiative vise à renforcer les liens entre les autorités et la population en cette période de spiritualité et de solidarité.
Un cadre de cohésion sociale
Le haut-commissaire Noufo Dembelé, dans son intervention, a salué cette initiative qui illustre l’esprit du Ramadan 2025, où le partage et la cohésion sociale sont mis en avant. Il a rappelé l’importance de telles rencontres pour consolider la paix et le vivre-ensemble dans la province.
Les représentants des associations de la veille citoyenne ont, quant à eux, souligné que ce cadre convivial du Ramadan 2025 permet de renforcer la collaboration entre les forces vives et l’administration locale. Ils ont exprimé leur engagement à poursuivre des actions en faveur de la cohésion sociale et du développement communautaire.
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L’imam Abdallah Konaté, coordonnateur de la FAIB section de la Kossi, a formulé des bénédictions à l’endroit du Burkina, afin que la paix revienne et aussi aux forces combattantes engagées pour la reconquête du territoire.
A tour de rôle les différentes confessions religieuses ont prononcé des prières et des bénédictions à l’endroit de l’ensemble du pays et surtout pour le retour de la paix.
Les associations engagées pour la paix
L’événement, marqué par des prières et des bénédictions, a permis aux participants de partager un repas dans une atmosphère empreinte de fraternité. Ce geste symbolique, ancré dans les valeurs du Ramadan 2025, a été vivement apprécié par les fidèles et les acteurs communautaires.
À l’issue de cette rupture de jeûne, les échanges ont porté sur les défis locaux et les perspectives d’actions collectives. Le haut-commissaire a réitéré son engagement à accompagner les initiatives citoyennes, surtout en cette période du Ramadan 2025, où la solidarité doit être une priorité.
AMINA KABO DJARMAH
